dimanche 24 février 2019
lundi 11 février 2019
dimanche 10 février 2019
SOLDI
'Soldi', il testo della canzone
In periferia fa molto caldoMamma stai tranquilla sto arrivando
Te la prenderai per un bugiardo
Ti sembrava amore era altro
Beve champagne sotto Ramadan
Alla tv danno Jackie Chan
Fuma narghilè mi chiede come va
Mi chiede come va come va come va
Sai già come va come va come va
Penso più veloce per capire se domani tu mi fregherai
Non ho tempo per chiarire perché solo ora so cosa sei
È difficile stare al mondo quando perdi l’orgoglio lasci casa in un giorno
Tu dimmi se
Pensavi solo ai soldi soldi
Come se avessi avuto soldi
Dimmi se ti manco o te ne fotti
Mi chiedevi come va come va come va
Adesso come va come va come va
Ciò che devi dire non l’hai detto
Tradire è una pallottola nel petto
Prendi tutta la tua carità
Menti a casa ma lo sai che lo sa
Su una sedia lei mi chiederà
Mi chiede come va come va come va
Sai già come va come va come va
Penso più veloce per capire se domani tu mi fregherai
Non ho tempo per chiarire perché solo ora so cosa sei
È difficile stare al mondo
Quando perdi l’orgoglio
Ho capito in un secondo che tu da me
Volevi solo soldi
Come se avessi avuto soldi
Prima mi parlavi fino a tardi
Mi chiedevi come va come va come va
Adesso come va come va come va
Waladi waladi habibi ta’aleena
Mi dicevi giocando giocando con aria fiera
Waladi waladi habibi sembrava vera
La voglia la voglia di tornare come prima
Io da te non ho voluto soldi…
È difficile stare al mondo
Quando perdi l’orgoglio
Lasci casa in un giorno
Tu dimmi se
Volevi solo soldi soldi
Come se avessi avuto soldi
Lasci la città ma nessuno lo sa
Ieri eri qua ora dove sei papà
Mi chiedi come va come va come va
Sai già come va come va come va
samedi 9 février 2019
mardi 5 février 2019
dimanche 3 février 2019
DOM JUAN
- Quoi que puisse dire Aristote, et toute la philosophie, il n’est rien d’égal au tabac, c’est la passion des honnêtes gens ;
et qui vit sans tabac, n’est pas digne de vivre ;
non seulement il réjouit, et purge les cerveaux humains,
mais encore il instruit les âmes à la vertu,
et l’on apprend avec lui à devenir honnête homme.
Ne voyez-vous pas bien dès qu’on en prend,
de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde,
et comme on est ravi d’en donner, à droit, et à gauche, partout où l’on se trouve ?
On n’attend pas même qu’on en demande, et l’on court au-devant du souhait des gens
: tant il est vrai, que le tabac inspire des sentiments d’honneur, et de vertu, à tous ceux qui en prennent.
Mais c’est assez de cette matière, reprenons un peu notre discours.
DOM JUAN.- Quel homme te parlait là, Il a bien de l’air ce me semble du bon Gusman de Done Elvire ?
SGANARELLE.- C’est quelque chose aussi à peu près de cela.
Acte 1 scène 3
SGANARELLE.- Madame, les conquérants, Alexandre, et les autres mondes sont causes de notre départ ; voilà, Monsieur, tout ce que je puis dire.
Don Juan aux
enfers
Quand Don Juan descendit vers l'onde souterraine
Et lorsqu'il eut donné son obole à Charon,
Un sombre mendiant, l'oeil fier comme Antisthène,
D'un bras vengeur et fort saisit chaque aviron.
Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes,
Des femmes se tordaient sous le noir firmament,
Et, comme un grand troupeau de victimes offertes,
Derrière lui traînaient un long mugissement.
Sganarelle en riant lui réclamait ses gages,
Tandis que Don Luis avec un doigt tremblant
Montrait à tous les morts errant sur les rivages
Le fils audacieux qui railla son front blanc.
Frissonnant sous son deuil, la chaste et maigre Elvire,
Près de l'époux perfide et qui fut son amant,
Semblait lui réclamer un suprême sourire
Où brillât la douceur de son premier serment.
Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre
Se tenait à la barre et coupait le flot noir,
Mais le calme héros, courbé sur sa rapière,
Regardait le sillage et ne daignait rien voir.
Et lorsqu'il eut donné son obole à Charon,
Un sombre mendiant, l'oeil fier comme Antisthène,
D'un bras vengeur et fort saisit chaque aviron.
Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes,
Des femmes se tordaient sous le noir firmament,
Et, comme un grand troupeau de victimes offertes,
Derrière lui traînaient un long mugissement.
Sganarelle en riant lui réclamait ses gages,
Tandis que Don Luis avec un doigt tremblant
Montrait à tous les morts errant sur les rivages
Le fils audacieux qui railla son front blanc.
Frissonnant sous son deuil, la chaste et maigre Elvire,
Près de l'époux perfide et qui fut son amant,
Semblait lui réclamer un suprême sourire
Où brillât la douceur de son premier serment.
Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre
Se tenait à la barre et coupait le flot noir,
Mais le calme héros, courbé sur sa rapière,
Regardait le sillage et ne daignait rien voir.
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